mardi 2 octobre 2007
L'état de l'Etat de la France
Le Président de la République Française, Nicolas Sarkozy, s'incline devant le recteur de la grande mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, et réalise un acte cultuel musulman.
Mahomet, le prophète fondateur de l’islam, a déclaré :
« L’Islam domine et ne saurait être dominé. »
EL-BOKHARI (23, 80), cité par A. FATTAL, Le Statut légal des non-musulmans en pays d’Islam, Beyrouth, Dar al-Machreq, 1995, p.144.
Pour l'islam Dieu lui-même a dit :
“Dieu ne donnera pas aux infidèles [non-musulmans] l’avantage sur les croyants [musulmans]” (Coran IV, 141).
“Force et puissance appartiennent à Dieu, à son prophète [Mahomet] et aux croyants [musulmans]” (Coran, LXIII, 8 )
"Le chef de l'État s'est rendu hier soir à la grande mosquée de Paris pour rompre le jeûne du ramadan.
" C'est la première fois, depuis l'inauguration de cette mosquée par Gaston Doumergue en 1926, qu'un président en exercice vient rompre le jeûne, un acte cultuel qui consiste à partager le premier repas suivant le coucher du soleil."
C'est à l'invitation de son président, le recteur Dalil Boubakeur, que le chef de l'État s'est exprimé hier. "
Nicolas Sarkozy a dit :
« CEUX qui parlent de haine blasphèment l'islam. Ils n'ont rien à faire sur le sol de la République française ».
Cf article du Figaro ci dessous.
___________________________________________________
Et la souverainété, et la dignité, et la laïcité dans tout cela, Monsieur le chef de l'Etat Français, démocratique et laïque ?
Depuis quand un Président de la République se prononce-t-il sur ce que serait ou ne serait pas un blasphème d'une religion quelconque ?
Est ce que Sarkozy va bannir Dieu et le coran pour ces paroles de haine envers les non-musulmans et décréter que Dieu blasphème :
"Dieu n'aime pas les infidèles !" Coran 3.32 ?
" Le livre : "Le coran contre la République" de Laurent Lagartempe démontre que la publication, la diffusion et l’enseignement du Coran sont, au regard du code pénal français, des délits de « provocations à crimes et délits contre les personnes ». Il ne peut exister d’« islam en France » ni même d’« islam de France » sans que le Coran ait au minimum été expurgé de ces quatre cents versets incompatibles avec les lois de la République."
Or pour l'islam, le coran est "saint", il est la parole de Dieu lui-même, il est impossible de l'"expurger".